Repenser son modèle économique d’utilité sociale – Un guide de France Active – 3 novembre 2017

Avant de réfléchir à son modèle économique, il est impératif de soigner sa stratégie et ses objectifs. Une lapalissade, certes, mais qu’il est parfois bon de rappeler. La stratégie commence par l’étude de la concurrence, même pour le secteur non-lucratif: évolution des besoins des bénéficiaires et des clients, du cadre réglementaire juridique et fiscal, des acteurs du domaine d’activité et attente des financeurs. Il s’agit de trouver un positionnement «unique» pour construire une offre qui répond à des besoins spécifiques.

Ce n’est qu’ensuite que l’on traduit sa stratégie dans son modèle économique d’utilité sociale. Modèle qui repose sur la garantie de la poursuite de l’objet social, tout en intégrant les coûts et les moyens, dans une logique de génération d’excédents… et le cas échéant en «hybridant» son modèle entre activité marchande et activité non-marchande. Quatre schémas sont alors envisageables: une hybridation intégrée, redistributive, complémentaire ou accessoire.

Le guide expose ensuite les grandes tendances constatées auprès des trois grands types de financeurs: la puissance publique (subvention et commande publique), les entreprises (mécénat et coopération), les particuliers (cotisation, don et bénévolat).

Une lecture facile pour comprendre ce qu’est un modèle économique d’utilité sociale, avec schémas, regards d’acteurs et illustrations par trois exemples sectoriels qui ont repensé leur modèle économique: l’accès aux vacances pour tous, l’accès au sport pour tous, l’économie circulaire.

fleche 2 avant   Parcourir le guide
fleche 2 avant   Accéder au site de France Active