Mais qui sont les fundraisers ? – Portrait dressé par l’Association Française des Fundraisers – 20 février 2019

270 fundraisers interrogés, 77% de femmes, 46% travaillent à Paris, 32% ont moins de 35 ans… 92% estiment que leur travail est en adéquation entre leurs centres d’intérêts et la mission de leur organisme et 93% des sondés se déclarent optimistes quant à l’avenir du métier de fundraiser.

Pour autant, des inquiétudes se font sentir. Sont mises en avant, pour 46% d’entre eux la stratégie globale de l’organisme mal définie ou encore la charge de travail (40%). Et la gouvernance n’a pas tenu suffisamment compte des évolutions législatives récentes (IFI, contrats aidés, RGPD…) pour 60% des personnes interrogées.

Toujours est-il que le fundraiser, même s’il est quelquefois (souvent?) stressé est attaché à sa cause et à son métier. Les fundraisers sont toujours plus nombreux et continuent à se professionnaliser, voire se spécialiser sur l’une ou l’autre des cibles de collecte.

Dans un contexte général mouvant et aux besoins financiers accrus, les fundraisers se doivent d’être innovants dans leur stratégie. Et peut-être de repenser leur nom, souvent abscons en dehors des initiés. Alors les fundraisers, des «professionnels du développement des ressources»?

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