Evaluer l’impact social – Mode d’emploi de l’Avise – 9 janvier 2018

Mesurer l’impact social consiste à estimer la valeur sociale d’une activité. Le guide de l’Avise reconnait que mesurer l’impact social est parfois compliqué et peut nécessiter des moyens significatifs. Aussi, dans la pratique, c’est souvent l’utilité sociale qui est étudiée. Après avoir passé en revue les questions de définition, l’Avise présente la démarche d’évaluation en trois étapes. Tout réside dans la définition du référentiel, en intégrant les parties prenantes (financeurs, dirigeants, bénéficiaires, salariés, collectivités…), autour…

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Le baromètre 2018 de l’entrepreneuriat social sous l’angle de la «Tech for Good» – 4 janvier 2018

Impulsé par Ashoka, le 6e baromètre de l’entrepreneuriat social, d’après son enquête, note une différence de perception entre les entrepreneurs sociaux qui associent pour 60% d’entre eux numérique et entrepreneuriat social et seulement 35% du grand public qui fait le lien. Le baromètre met donc l’accent sur ce «mariage» qui conduit à la naissance des «Tech for Good». Pour illustrer ce «mariage», le baromètre donne la parole aux partenaires de l’étude, acteurs de l’ESS, associations…

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Les trois innovations de la finance solidaire vues par Finansol – 4 janvier 2018

A l’occasion de ses 20 ans, le label Finansol revient sur les trois innovations financières majeures de la finance solidaire: le capital citoyen solidaire, l’épargne de partage et les fonds solidaires. Apparu dans les années 80, «la mobilisation d’épargne citoyenne consiste à collecter directement auprès de particuliers des apports en capital», généralement sous forme de circuit court. Leurs caractéristiques: ces apports sont peu rémunérés; ils sont investis dans des activités d’utilité sociale ou environnementale; leur…

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L’«extrême générosité» en discussion dans les pages du Temps – 2 janvier 2018

Le Temps fait appel aux sociologues et philosophes pour décrypter l’altruisme: «l’extrême générosité est devenue une valeur montante», constate le quotidien suisse. Le sociologue Ronan Chatelier affirme ainsi que «l’altruisme a longtemps été considéré par les économistes comme douteux et inadapté à la nature humaine, on voit maintenant un mouvement inverse, avec l’économie du bonheur, et des penseurs idéalistes qui réfléchissent aux moyens de rendre le monde un peu plus juste. L’idéologie du sympa […]…

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