L’optimisme est de rigueur chez les fundraisers, d’après Fundorama, 4e édition du baromètre des fundraisers publiés par l’AFF – 16 février 2017

À partir d’un questionnaire en ligne auprès de 210 personnes et de 60 entretiens téléphoniques, l’Association française des Fundraisers dresse le portrait du fundraiser type: c’est une femme, jeune et habitant Paris. Les hommes, on en trouve, et, proportionnellement, plus à des postes de direction, bien que l’écart se réduise.

35% des personnes interrogées sont les seuls fundraisers de leur équipe. Mais ils sont résolument optimistes (95%)! Le fundraiser est avant tout motivé par la cause, d’intérêt général, qu’il soutient (42%) et le sens qu’il donne à son travail (39%). Le salaire n’est lui pas la motivation principale; la tranche la plus représentée tout secteur confondu se situe entre 31 000 et 40 000 euros annuel (29%).

Des fundraisers optimistes mais stressés, notamment pour les postes de direction: parmi les inquiétudes, on trouve principalement une stratégie globale de l’organisation mal définie et une charge de travail importante. 54% d’entre eux considèrent que leur organisation ne se donne pas les moyens pour faire face aux évolutions des métiers du fundraising.

Et le fundraiser ne s’arrête jamais. Parmi ses priorités pour les années à venir: développer de nouveaux axes de fundraising et investir dans le développement. Bref, le fundraiser est optimiste, motivé, stressé mais il a encore plein d’idées!